Entre nostalgie et impatience
Les dernières heures à St-Petersbourg. Tout le monde est alors nostalgique de cette superbe ville qui mérite vraiment qu'on la visite. Les sept jours passés ici ont filés à vitesse grand V. Cette ville restera longtemps gravé dans ma mémoire, et j'espère vraiment pouvoir y retourner un de ces jours. Pourquoi pas l'hiver?
Mais ce sentiment, que l'on a toujours quand on quitte quelque chose qui nous a marqué, est cette fois un peu étrange. Il nous reste en effet 17 jours à passer en Russie. Le voyage est loin d'être fini. C'est donc l'esprit tiraillé entre nostalgie et impatience de découvrir la Sibérie, que nous faisons nos adieux à St-Petersbourg et tous ses monuments remarquables.
Nous déambulons ainsi dans les rues de cette ville. Un dernier vers dans le "tryo bar", devenu en quelque sorte notre symbole petersbourgeois. Un détour par le supermarché histoire de faire des provisions pour les quatre jours de train qui nous attendent, puis voilà: il est temps de nous rendre à la gare.
Et quelle bonne surprise lorsque nous croisons Dima, notre sauveur, sur les trotoirs de la perspective Nevsky. Nous échangeons nos adresses E-mails. Une très bonne chose, puisque nous sommes toujours en contact avec lui, en ce 20 janvier 2007.
Face à nous, la gare de Moscou, point final de notre séjours. L'attente du train est vraiment interminables. Le voilà enfin. Au revoir St-Petersbourg, à bientôt je l'espère...